CONFITURE D’ORANGE AMÈRE

Tout le travail de bijoutier de Frédéric Soffiotti est dans ce pot.

8,90  bocal de 230 g
38,70 € / kg

SUR DES TARTINES BEURRÉES, bien sûr. DANS LE BASBOUSSA de Marine et Clarisse (d’après la recette du livre À l’Idéal) : 180 ml d’huile d’olive, 240 ml de jus de pomme du Mas Daussan ou d’orange si c’est la saison, 160 g de confiture d’orange amère, 4 œufs, 70 g de sucre roux, 70 g de coco râpée ou d’amandes en poudre, 90 g de farine, 180 g de semoule fine ou extra-fine, 2 cuillères à soupe de poudre d’amandes, 2 cuillères à soupe de levure chimique. Mélanger d’un côté les ingrédients secs et de l’autre les ingrédients humides. Verser le mélange sec dans le mélange liquide. Cuire à 180 °C pendant environ 40 minutes ou jusqu’à ce que la croûte soit bien brune. Pendant la cuisson, préparer le sirop : 200 g de sucre + 140 ml d’eau + 2 cuil­lères à café d’eau de fleur d’oranger. Porter à ébullition et verser tout le sirop sur le gâteau dès la sortie du four pour continuer à imbiber la semoule. Laisser tiédir avant de déguster. Encore meilleur le lendemain.

Orange amère de Pays (55%), sucre de canne bio, citron. Conserver au frais après ouverture.
Valeur Nutritionnelle pour 100g : 919KJ/220Kcal
Mat Grasse : 0g ; Glucides : 55g dont sucre 55g. Fibres : 2,1g ; Protéine : 0g ; Sel : 0g.

Description

Dans ma famille, l’orange amère c’est avant tout ma grand-mère et sa Tunisie natale. Cette recette-là c’est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c’est un travail de bijoutier. « On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau… »