AMARENE FABBRI
Il y a des indispensables dans la vie. Le bocal bleu et blanc. Les griottes au sirop de Fabbri en sont ! À déposer délicatement sur une boule de glace fiore di latte ou vanille... Le sirop rouge grenat, les cerises confites... fermez les yeux, vous les avez en bouche ?
Bocal de 100g
98 € / Kg
9,80 €
Avec ça ?

THÉ À LA FLEUR D’ORANGER
Un jour, j'ai vu Pierre Lebrun dans les yeux, dans son magasin tout beau du 11e arrondissement à Paris. Il passait du très bon hip hop, je m'en régalais, et il me racontait sa rencontre avec le thé, ses découvertes et tous ces savoir-faire infinis. Je lui ai demandé de nous écrire trois belles recettes de thé. Une aux agrumes. Une à la fleur d'oranger. Une aux épices, plus hivernale. Un autre jour je lui ai demandé une tisane qui donne envie de sauter du lit. La Curcuma Gingembre était née. Merci Pierre ! Voici donc ici un Oolong légèrement torréfié aux saveurs chaleureuses, eau de fleur d’oranger italienne et morceaux de citrons noirs iraniens. Addictive.

BISCOTTI DI PRATO
En Toscane les Biscotti di Prato aux amandes se trempent dans le Vinsanto. C'est un dessert d'un autre monde et d'un autre temps.

CREMA AL PISTACCHIO
25% de pistaches, c'est pour ça qu'on l'aime tant ! Juste ce qu'il faut d'intensité pour finir le pot sans y penser. La Maison Scyavuru est un collectif de trois fermes productrices de fruits et fruits secs. Trois fermes qui mettent en commun leurs récoltes pour les transformer ensemble en confitures et pâtes à tartiner. Leur crème de pistaches est un bonheur. Parce que c'est un juste équilibre. Très pistache mais sacrément bien dosée. Elle ne sature pas le palais et donne envie d'y revenir très souvent. Trop peut-être ! À servir au fond de petits bols avec des framboises fraîches et des chouquettes. Ou simplement tartinée sur de la brioche fraîche. Aussi, on pourrait en faire un trifle. Une base de savoiardi imbibés de vermouth, des fraises, une couche de crème de pistaches, une couche de chantilly au mascarpone.

CONFITURE D’ORANGE AMÈRE
Cette recette-là c'est celle de la grand-mère de Frédéric Soffiotti ! La sua Donnina! Et c'est un travail de bijoutier. "On fait quelques trous dans l’orange avec une aiguille à tricoter (pas un couteau, ça oxyde) et on fait tremper les fruits dans de l’eau que l’on va changer pendant trois jours. Une partie de l’amertume va partir. Et puis, et c’est là le plus long, on va prendre chaque orange en main, la couper en deux, en extraire les pépins de la pointe du couteau, puis détailler en fines tranches chaque moitié du fruit. On blanchit le tout et on couvre de sucre, pour la nuit, c’est ainsi que la pectine naturelle du fruit s’exprime, puis on fait cuire. C’est un travail long et répétitif, de trancher tous les fruits au couteau, mais le résultat, la texture en bouche, le goût, le confit de la peau..."